Empreintes de chaussures vielles de plusieurs millions d’années

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En 1959 des archéologues découvrirent dans le désert de Gobi une pierre ayant une empreinte d’une chaussure daté de plusieurs millions d’années. Logiquement avec l’Histoire humaine ceci est impossible car l’Homme ne vivait pas encore sur la Terre.

Les membres chinois et russes de l’expédition de paléontologie conduite par le Dr Zhou Ming-Zhen ont été dans l’impossibilité d’expliquer cette découverte.

Par contre en 1922 dans le journal American Weekly du New York Sunday American publia un article signé par le Dr W.H. Ballou un article intitulé : “Le mystère de la semelle pétrifiée vieille de 5 millions d’années”.

« Voici quelque temps, alors qu’il cherchait des fossiles dans le Nevada, John T. Reid, ingénieur des mines et géologue distingué, se figea soudain et contempla un rocher à ses pieds avec une extrême stupéfaction. Là, dans la roche elle-même, il y avait ce qui semblait être une empreinte de pied humain !  Un examen plus minutieux lui apprit que ce n’était pas une empreinte de pied nu, mais, apparemment, une semelle de chaussure pétrifiée. La partie avant manquait, mais il restait le contour d’au moins les deux tiers, et le long de ce contour, on voyait distinctement la trace d’un fil cousu qui avait attaché la semelle à la chaussure. À l’intérieur, on remarquait une autre couture et au centre, là où devait être posé le pied si l’objet en question était bien une semelle, il y avait un creux, exactement comme celui qu’aurait laissé le talon en usant par friction le matériau dont la semelle était faite. C’est ainsi que fut découvert un fossile qui constitue aujourd’hui le plus grand mystère de la science, car la roche dans laquelle il se trouvait est vieille d’au moins 5 000 000 d’années. »

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L’empreinte fut amené à New York ou il comptait le soumettre à d’autres scientifiques afin de valider sa découverte.

« En arrivant à New York, j’ai montré ce fossile au Dr James F. Kemp, géologue à l’université de Columbia ; aux professeurs H.F. Osbom, W.D. Matthew et E.O. Hovey, du Muséum d’histoire naturelle américain. Tous sont parvenus à la même conclusion, à savoir que “c’était l’exemple le plus remarquable d’imitation naturelle d’un objet artificiel qu’ils avaient jamais vu”. Pourtant, ces experts étaient d’accord pour attribuer la formation rocheuse au Trias, et des cordonniers reconnaissaient dans ce spécimen une semelle à trépointe. Le Dr W.D. Matthew a rédigé un bref rapport sur cette découverte, déclarant que si toutes les apparences d’une chaussure s’y trouvaient, y compris les coutures, ce n’était cependant qu’une remarquable imitation. Un lusus naturae, c’est-à-dire une “fantaisie de la nature”. »

Malgré la fin de non-recevoir de Matthew, Reid s’entêtait :

« J’ai ensuite pris contact avec des spécialistes de la microphotographie et de la chimie analytique de l’institut Rockfeller qui, à titre personnel pour ne pas engager l’institut, ont fait des photos et des analyses des spécimens. Les analyses ont levé tous les doutes qui pouvaient subsister sur la fossilisation de la semelle au Trias (…). Les microphotographies donnent un grossissement de vingt fois par rapport au spécimen luimême, montrant les moindres détails de la torsion et des fibres du fil, ce qui prouve de façon concluante qu’il ne s’agit pas d’une ressemblance, mais d’une semelle de chaussure fabriquée par l’homme. Même à l’oeil nu, les fils sont bien visibles, ainsi que les contours parfaitement symétriques de la semelle. Le long du bord, on distingue une ligne parallèle régulièrement perforée comme par les points de couture. Je pourrais ajouter qu’au moins deux géologues dont les noms seront un jour divulgués ont admis la validité de cette semelle et de sa fossilisation authentique dans les roches du Trias. »

En 2014 nous pouvons avoir la certitude que les formations triasiques estimées à 5 millions d’années, ont été mal estimées car avec les nouvelles technologies que nous avons, nous pouvons maintenant préciser que le Trias aurait entre 213 et 248 millions d’années avant notre époque.

Maintenant vient deux interrogations :
1. Des visiteurs du cosmos ont-ils débarqué un jour sur notre planète et auraient laissé des traces de leurs passages sur la Terre ?

2. Les Humains ont-ils apparus sur Terre des millions d’années avant le l’estimation tant discuté et prouvé ?

Oui ces deux hypothèses révèlent du fantastique, mais avons-nous le droit de rêver et se poser des questions sur la science moderne qui aime bien garder des informations afin de protéger une Histoire que peu d’Humains pourraient accepter sans virer fou ?

Il ne faut pas oublier que tout que nous apprenons dans nos cours généraux comme à l’université sur l’évolution de l’Humain ce sont des hypothèses comme de la théorie. Il y a encore des zones obscures dans l’évolution humaine et ce cas amène une nouvelle couche sur ces mystères qui entoure notre évolution.

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