Peur de quoi au juste ? Foncez !
Pourquoi la parapsychologie/paranormal fait peur ?
Voir quelque chose d’inexplicable peut faire paniquer n’importe qui, inclusivement moi! Oui oui ! Par contre lorsque le cerveau a fini d’agir en mode “panique” le rationnel embarque et on commence à se poser des questions.
La source de nos peurs
C’est lorsque les questions arrivent et que nous ne pouvons expliquer ce que nous venons de voir que des barrières structurées par la société et par des dogmes arrivent.
Depuis notre tendre enfance nous sommes baignés dans la mer de la Science. Cette mer de données vérifiées et contre-vérifiées dans des éprouvettes ou dans des cages. Je sais que l’image semble radical et sévère, mais c’est la triste réalité.
Dans l’ère que nous vivons, il est impossible d’exprimer un sentiment ou faire un geste sans se faire juger, sans se faire analyser par une banque de spécialistes, chercheurs et docteurs. Ces gens pensent tout savoir. Ils ont des diplômes à couvrir la Muraille de Chine. Ils ont le Savoir, mais pas nous, incultes que nous sommes.
Cette armée de sarraus est aidée par les sceptiques qui croient qu’à leurs connaissances, mais surtout leur égo. Nous n’y pouvons rien. Surement ils sont du genre à croire à l’électricité après avoir mis le doigt dans la prise de courant. Par chance que les prises de courant qui peuvent tuer sont en arrière du poêle/fourneau et de la sécheuse !
Pourquoi ? Pourquoi avoir peur de l’inconnu ?
L’explication est simple. Depuis notre naissance il nous est appris que nous devons croire seulement ce que nous voyons et ce que la science peut expliquer. Des dogmes nous écrasent, nous empêchent de nous poser trop de questions. Nous devons rester inculte par rapport au paranormal, sinon vous risquez de vous faire traîner dans la boue et vous faire dire que vous avez une araignée au plafond !
Ces personnes qui ont vécu un phénomène paranormal, soit flash, ombres noires, fantômes, contacts physiques, voir des phénomènes OVNIS et j’en passe… est-ce qu’elles sont folles ?
Surement que oui pour les sceptiques et les scientifiques.
Défonçons le mur de la peur
Alors est-ce que les scientifiques et les sceptiques peuvent expliquer comment un jeune de 23 ans a pu ressentir le suicide d’un membre de sa famille ? Ce jeune a ressentir les derniers moments avant le moment fatal. Seulement 4 membres de la famille du suicidé savait des détails précis du lieu, de l’objet utilisé et le type de véhicule. Ce jeune de 23 ans a pu donner ces détails et exprimer ce qu’il avait ressenti et vu. Ces détails ont toujours été cachés afin de respecter la famille et la mémoire du défunt.
Pour moi je dois avouer qu’il m’arrive encore d’avoir des ressentis, flashs et surtout des messages qui viennent non pas d’humains, mais d’entités et je précise que je ne suis pas médium ou voyant.
En 2006 j’ai pu ressentir la douleur et la peine de ma mère lorsqu’elle a appris à l’hôpital que mon père avait le cancer. J’étais dans le bus après avoir passé la fin de semaine chez ma blonde du temps à Montréal. Assis dans le bus vers 19h00 entre Montréal et St-Hyacinthe, j’ai commencé à pleurer comme une Madeleine, sentant des vagues intenses de rage, de tristesse… J’étais triste comme si je venais d’apprendre la mort de mes parents. Je savais que ça venait de ma mère car je ressentais l’Amour de mon mère envers mon père. À 21h30 en rentrant dans l’appartement il y avait un mot collé sur la porte du garde-robe. Ce mot disait tout simplement que mon père était à l’hôpital. 30 minutes après mon arrivé, ma mère me téléphonait pour annoncer la mauvaise nouvelle. J’ai pleuré encore et encore en comprenant la raison de cette rage et peine que j’avais ressentie dans le bus. Lorsqu’elle revint à l’appartement vers 2h00 du matin nous avons parlés et je lui ai dis que j’avais ressenti sa peine et que j’avais pleuré dans le bus. Comme ma mère est sceptique, mais accepte que je parle de paranormal, elle n’a rien dit, mais j’ai vu son regard analyser mon faciès et mes gestes. J’étais fâché, frustré, en colère de la nouvelle pour mon père, mais je comprenais la réaction de ma mère envers moi de ne rien dire sur ce que j’avais ressentis. C’est ma mère et je l’accepte comme elle est.
Vous en voulez d’autres exemples ?
Voici deux faits que j’ai vécu en 2007 et 2009.
Fait no 1. En avril 2009 après 9 mois à travailler pour une nouvelle compagnie c’est le chômage car le contrat est terminé et pas de travail. Je prends 15 jours pour relaxer et en même temps regarder le marché du travail dans la région de Québec. Un samedi matin je suis avec ma mère pour faire des commissions. On roule à Québec. Sur le chemin du retour à l’appartement on arrive à une lumière rouge. J’entends dans mon oreille droite (côté fenêtre du passager de la voiture) me dire « dans 4 mois tu iras travailler pour la compagnie dans ce bâtiment, le 9 juillet» Mon regard est sur un bâtiment du gouvernement du Québec : MRNF ou l’Atrium pour ceux et celles qui connaissent la Ville de Québec. Je suis surpris de cette affirmation venant à mon oreille. Je mets en mémoire le “4 mois”, mais je laisse de côté la date du 9 juillet. La journée passe et les semaines passent… À partir de début juin j’avais l’impression que quelque chose allait arriver… Le 3 juillet 2009 je monte en bus à Montréal en sentant que quelque allait arriver (oui je sais je répète la phrase qui est au-dessus) et dimanche dans la journée ma mère me téléphone pour me dire que la compagnie voulait me parler lundi matin. Ahhhhhh! Le 4 mois approchait ou venait de se terminer… Le lundi je téléphone le responsable et devinez quoi… Je commençais le mercredi un nouveau contrat de traitement de données d’archives cadastrales au MRNF… La date arrivait avec le 4 mois que j’avais entendu à l’oreille en avril dans la voiture avec ma mère. J’ai fait 18 mois à ce projet et après je suis allé pour un autre projet.
Fait no 2. Ce dernier exemple est très personnel, mais je ne peux pas l’effacer de ma mémoire. Cela touche mon père. En fait cela touche la mort de mon père. Il est décédé en septembre 2007 après 18 mois d’un rude combat contre le cancer. Il ne s’est jamais plaint de la douleur qui le suivait depuis ses 23 ans après un grave accident de moto o à 23 ans. Pour lui la douleur était son meilleur ami.
Il est décédé un samedi à 11h05 minutes. J’étais à la maison en attendant des pilules car j’étais blessé au dos (hernie discal grave) et sans les médicaments j’avais des crampes intenses dans la fesse et jambe droite. Donc impossible de marcher sans ces médicaments.
À 10h40 le médecin rencontre ma mère et mon père qui était semi conscient. Ma mère veillait auprès de mon père Il avait une seule crainte : mourir seul. Il avait des capacités de magnétiseur et il n’avait pas peur de la mort, mais il voulait que ma mère soit là lors de son dernier instant. Le médecin annonce avec froideur (comme n’importe quel médecin) qu’il lui reste au max 2-3 jours à vivre. Cela dure 1-2 minute et ma mère me téléphone pour annoncer la nouvelle.
Je suis triste, mais j’ai « hâte » que ça arrive car il souffre, son cœur et poumon ne peut l’aider à bien respirer. Je suis au téléphone devant l’ordinateur et mon esprit roule à cent à l’heure…
Dès que je raccroche (10h50) je sens et je le dis sens de l’énergie arriver, des vagues de tristesse, mais de joie et de liberté. Cela a duré 10 minutes sans comprendre ce que je ressens.
Puis il arriva quelque chose que je n’ai pas de mot… J’ai senti une présence juste en arrière de moi. J’étais assis devant mon PC et le lit est en arrière de moi.
Cette présence est là ! Mon père. Il vient me dire un bonjour et m’annoncer qu’il est parti de sa prison de chair. Je lui ai parlé je dirais 1 ou 2 minutes difficile à donner une quantité de minutes exactes. Puis je lui dis « si tu viens de mourir maman va téléphoner » et c’est alors que j’entends « elle téléphone à l’ instant ». Et devinez ce qui s’est passé ? Le téléphone sonna à l’instant et c’était ma mère en panique qui m’annonçait que mon père venait de rendre son dernier respire. Mort. Fini la souffrance.
Il était encore avec moi jusqu’à ce que je lui dise d’aller rejoindre ma mère qui devait être dans tous ses états.
Comment aurais-je pu savoir que le téléphone allait sonner à l’instant ? Comment je savais que mon père venait de quitter sa prison de chair ?
Mon père est décédé et je suis content, tout en étant triste. Fini la souffrance et il est libre maintenant. La seule chose que je n’accepte pas c’est la maladie qui l’a amené.
À vous maintenant
Maintenant vous vous demandez la raison de ce texte ?
Nous sommes rien dans l’Univers qui nous entoure. Nous voyons seulement ce que nos yeux perçoivent par la rétine de l’œil.
Si vous ne me croyez pas allez mettre notre doigt dans la prise de courant… Vous verrez que l’énergie qui fait fonctionner l’écran du cellulaire (portable) et l’ordinateur que vous utilisez pour lire ce texte existe et elle peut blesser ou tuer.
Je peux comprendre que dans les années 1500 lorsqu’une personne disait avoir vu un fantôme qu’elle était tout de suite envoyé chez le curé du village pour un exorcisme ou se faisait étiquetée comme une sorcière ou autres produit du Diable. C’était la mode si je peux m’exprimer ainsi.
Maintenant si vous entendez un jour une personne saine d’esprit, parler de ses expériences avec la métaphysique/paranormal, prenez le temps de l’écouter, analyser ses paroles et posez lui des questions avec politesse. Cette personne n’est pas folle. Elle mérite votre respect comme n’importe qui.
Malheureusement si vous ne pouvez pas accepter le fait que l’invisible ne peut être vérifié, quantifié, analysé dans une éprouvette comme dans une cage, alors j’en serai désoler pour vous lorsque votre tour arrivera pour quitter votre prison de chair.
Maintenant la balle est dans votre camp !
Exprimez-vous! Oubliez les lourds qui pensent tout savoir, qui se fient juste à leurs diplômes pour vous juger. Arrêtez de vous coucher devant ces balourds et levez-vous et foncez !
Dites ce que vous avez vécu. Vous n’avez rien à perdre.
Personnellement si une personne qui m’entoure n’accepte pas que je parle de parapsychologie/paranormal ouvertement elle a juste à quitter ma vie. Nous sommes 7 milliards sur cette boule bleue. Un de plus ou un moins dans mon cercle personnel… Ce n’est pas moi le pire.
Ne pensez pas que je suis bête, mais dans la vie il faut choisir et j’ai choisis !
Votre choix
Dans l’avenir, dans les prochaines années il y aura une évolution rapide des consciences et je peux vous dire que cette évolution a déjà commencée, tranquillement, mais surement.
C’est à vous de choisir votre camps…
1. Le camp avec les bandeaux sur les yeux-oreilles et bouche.
2. Le camp des réveillés qui parlent pour exprimer et ouvrir les consciences.
Je suis juste un messager rien de plus, rien de moins. Pour ceux et celles qui me connaissent vous savez que je ne suis pas sur un trône et qu’un trône existe sur Radio-OutreTombe.
À vous de prendre votre destin entre vos mains.
Mon choix est fait depuis des années.
À vous de prendre la balle au rebond et assumez votre choix.
Merci de partager si vous jugez l’article pertinent 🙂