L’histoire d’une famille britannique troublée par le paranormal

Bonjour à tous et toutes 🙂

Cette semaine je vous fais un “petit” article sur un cas de poltergeist qui fut largement discuté sur les groupes paranormaux par les preuves prises par des enquêteurs…

Des livres, reportages ainsi qu’une série télévision prit dernièrement l’histoire d’une femme et de ses quatre enfants attaquée par une forme mystérieuse. Le cas du poltergeist de Enfield en Grande-Bretagne.

J’aimerais préciser que je ne pourrai pas donner tous les détails nécessaires car il est impossible de tout clarifier. Je vous donnerai les informations les plus intéressants. De plus je n’ai pas été voir le film Conjuration 2 qui est en fait ce cas vu selon le couple Warren.

Ce cas s’est passé au 284 Green Street dans l’arrondissement de Enfield à Londres durant l’année 1977. Une mère de famille, Peggy et ses quatre enfants, Margaret 13 ans, Janet 11 ans, Johnny 10 ans et Billy 7 ans, furent la cible d’un esprit frappeur (poltergeist en allemand). Objets volants, combustion aléatoire, sustentation et possession d’un des enfants amenèrent une famille à demander de l’aide.

La famille Hodgson furent sous surveillance par le chercheur psychique Maurice Grosse et le journaliste Guy Lyon Playfair.

Voici ce que Playfair donna comme commentaire sur le poltergeist :

Oh oui, il était tout à fait à cent pour cent authentique. Quelque chose de très étrange se passait. La première nuit que je suis allé dans cette maison, j’ai été stupéfait par l’atmosphère que je ressentais dans cette maison…

 

 

Je sentais la peur des membres de la famille. Je peux comprendre qu’ils avaient peur car la veille une commode s’était déplacée toute seule dans une chambre. Ils ne comprenaient pas ce qui s’était passé, mais surtout quelle force avait pu réaliser le déplacement du meuble.

Bruits, blocs Lego et Daily Mirror

La nuit que Playfair parle c’est le 31 août 1977. La veille la famille avait entendu des sons étranges, des coups inexpliqués partout dans la maison. Ils cherchèrent la source de ces bruits, mais rien expliqua l’origine ce qui n’aida pas la vie familiale de la famille. Les enfants avaient dans le passé joué des tours en déplaçant des meubles. Cela amena Peggy à croire que les bruits entendus venaient de Johnny et de sa soeur Janet.

Puis arriva le déplacement de la commode le 31 août vers 21h00.  Janet et Jonny étaient dans leur chambre. Un bruit comme un cliquetis se fit entendre dans la pièce.

Peggy alla tout de suite dans la chambre avertir les enfants de se coucher car il était tard. Elle fut stupéfaite de voir une commode se déplacer à travers la pièce. Elle décida de replacer la commode, mais rien ne se fit comme si une force surhumaine et invisible bloquait le meuble. Les enfants eurent l’ordre de descendre dans le salon. Ce qu’ils firent immédiatement. Elle alla chez les voisin, Vic et Peggy Nottingham pour demander de l’aide. Après quelques hésitations ils décidèrent d’y aller et inspectèrent du mieux qu’ils purent la maison. Ils entendirent des coups dans les murs, de petits coups. Alors qu’ils se déplaçaient de pièce en pièce, ils se rendirent compte que les coups et bruits semblaient les suivre.

À 23h00 la décision fut prise de téléphoner la police. Des agents, Carolyne Heeps et son collègue devinrent des témoins d’un déplacement d’une chaise de la salle à manger sans aide physique et ils entendirent des coups, comparable à ceux entendus plus tôt durant la soirée. Malheureusement aucune photographie fut prise, mais les agents firent un rapport d’évènement expliquant ce qu’ils avaient vu. Les agents purent constater que la chaise n’était pas attachée par des cordes ou par tout autre manière et qu’il était impossible d’expliquer le déplacement de la chaise. Les agents durent s’avouer vaincu et conseillèrent à Peggy de demander de l’aide scientifique et quittèrent la maison dépassé minuit.

La nuit fut calme, mais le sommeil resta loin de la maisonnée. Et disons que c’est facile à comprendre. Au matin l’enfer commença… Les bruits recommencèrent avec des billes et des morceaux de Lego de Billy qui commencèrent à s’envoler jusqu’au plafond. La mère alla chercher immédiatement les voisins qui étaient venu la veille inspecter la maison et ils furent tous témoin de ces phénomènes. Deux billes filèrent vers eux et frappèrent brutalement la porte de la salle de bain. La particularité dans tout cela (si on oublie le lancer des billes) c’est lorsque les voisins prirent les billes dans leurs mains, elles étaient brûlantes.

La mère décida de contacter le Daily Mirror le dimanche 4 septembre. C’est par ce contact que l’histoire incroyable, mais vraie du poltergeist de Henfield commença… Presque tous les journaux et postes de télévisions étaient devant la maison. Ils voulaient voir ou entendre le poltergeist… Le journaliste Georges Fallows un vieux journaliste accepta d’aller faire un tour et écrire un papier sur ce cas avec un photographe.

L’arrivé de Maurice Grosse et Playfair

Une heure après son arrivé ils entendirent quatre coups distincts dans les murs. Il décida de prendre contact avec la Society for Psychical Research. C’est alors que Maurice Grosse décida de s’impliquer activement afin d’élucider ce cas de poltergeist.

Grosse recommanda à Peggy de prendre en note tous les événements liés au poltergeist. C’est ce qu’elle fit. Après quelques jours d’accalmie, les phénomènes reprirent de plus belle.

Des billes, des chaises, des Lego et des vêtements flottaient dans les airs et se déplaçaient sur le plancher et les portes de la maison s’ouvraient et se refermaient sans aucune aide humaine. Janet semblait être le lien avec ces phénomènes…

Suite à un reportage d’une chaine de télévision Playfair décida de s’offrir pour aider Grosse. Playfair revenait d’une longue enquête d’un cas de poltergeist à São Paulo. Il précise :

Il était impossible de séparer les incidents car il y en avait beaucoup. Cette affaire était plein d’incidents qui étaient inexplicable.

 

Je vous donne deux exemples.

 

 

1. Un contracteur travaillant près de la maison vit apparaître un coussin sur le toit de la maison.

 

 

2. Une dame qui traversait la rue devant la maison vit Janet flotter dans les airs.

Malheureusement après avoir essayé de passer quelques jours chez les voisins pour avoir la chance de se reposer et être loin de poltergeist, ils comprirent rapidement que le phénomène pouvait les suivre.

Preuves photographiques

Les phénomènes les plus documentés sont la lévitation et le déplacement d’objets. Le Daily Mirror a envoyé une équipe afin de tenter de capter des preuves et elle fût gâtée à souhait !

Le photographe Graham Morris explique dans le documentaire The Enfield Poltergeist ce qu’il vit :

Lorsque nous avons amené les enfant dans une pièce tout à coup des objets commencèrent à s’envoler et frapper sur les murs. J’ai reçu une brique Lego en plein sourcil.

Morris décida d’installer une caméra spéciale qui lui permettait de prendre des photographies à distance. Une des photos qui fit le tour du monde c’est celle où nous voyons Janet avec une chemise rouge sang jeté à travers la pièce. Pour les sceptiques c’est une photographie truquée, mais pour les enquêteurs et le journaliste qui était dans la maison, c’est une photographie qui représente bien la puissance du poltergeist.

La deuxième photo qui dérange est celle où on voit Janet en lévitation au-dessus d’une commode dans sa chambre. L’homme sur la photographie et qui a un visage “bouche-bée” est son oncle. Le plus troublant c’est quelques heures avant Janet avait reçu une dose importante de sédatif et mise au lit qui est à l’opposée d’où elle apparaît. La dose était assez puissante pour assommer un éléphant.

Je peux parler des preuves avec les photographies que j’ai mis ci-haut, mais il y a aussi les détracteurs qui ne se sont pas gêné pour dire que les enfants avaient manipulé les caméras, avaient produit des “singeries” de petites filles qui voulaient causer des ennuis et qui utilisaient leur intelligence pour manigancer le tout.

Oui Janet et Margaret ont admis avoir jouer quelques tours aux chercheurs et journalistes comme cacher la caméra de Playfair au cours des quatorze mois d’enquête. Elles auraient donné des informations erronées à des journalistes qui voulaient des lignes juteuses et scabreuses pour les journaux locaux et nationaux.

Pour Playfair qui a vu de ses yeux ces phénomènes paranormaux il est impossible qu’il y ait trucage… Il raconte un fait vu de ses propres yeux

Janet était assise dans un fauteuil sans pattes et très solide. Il était impossible de le déplacer ou le renverser avec un coup de pied. Lorsqu’elle se leva pour se diriger vers la cuisine, le fauteuil commença à glisser en reculant jusqu’à un mur tout en basculant sur le dos.

Ventriloque ou possession ?

Le poltergeist avait une fixation sur Janet qui vivait jour après jour des événements plus en plus violents. Au début du texte j’ai indiqué qu’il y avait eu possession… La jeune femme de 11 ans commença à dire des mots, phrases qui n’avaient aucun sens ou bien semblaient exprimer des pensées de plusieurs entités.

Pour des orthophonistes les voix que Janet exprimait venaient de fausses cordes vocales à l’arrière du cou. Les acteurs qui veulent parler d’une voix rauque utilisent ces cordes vocales.

Le HIC c’est après quelques secondes la personne commence à avoir mal à la gorge. Ce qui annule cette théorie c’est que Janet pouvait parler avec cette voix pendant des heures, tout en annulant la possibilité qu’elle était ventriloque.

Playfair dit :

Tout ceci me faisait penser à cette scène dans le film Ghost avec Whoopi Goldberg qui était médium et que les esprits se battaient afin de passer des messages.

De l’aide…

Je parle de Playfair et de Grosse qui sont allé aider cette famille. En fait je dois dire que les voisins, la famille Nottingham, furent présents et virent des phénomènes qu’ils purent expliquer à Grosse et Playfair. Ils ont vu des ombres noires, de lumières fluorescentes dans le noir (des orbes?), une vieille femme aux cheveux gris à l’une des fenêtres de la maison, des coups dans les murs qui durèrent jusqu’à quatre heures de temps.

Pour les Nottingham il était important pour eux d’aider cette femme et ses quatre enfants. Ils donnèrent plusieurs témoignages à Maurice Grosse. Ils ont donné des détails sur des présences invisibles, de lumière fluorescente et d’une apparition d’une vieille dame avec des cheveux gris, apparaissant à l’une des fenêtres de la chambre qui donnait sur la rue.

Suite à de plusieurs coups entendu dans les murs durant la nuit Playfair se pose la question suivante : est-ce le poltergeist essaie de communiquer ? La seule façon de le savoir c’est d’amener une médium.

Identification

Annie Shaw et son conjoint organisèrent une séance de spiritisme dans la maison. Assis dans le salon elle expliqua le fonctionnement de la séance : les défunts ou autre entités passeraient par elle pour passer leur message.

La séance fut fructueuse car Annie pu identifier un défunt ayant fait de la magie noire et qui pouvait contrôler les autres défunts présents dans la maison. Son nom : Gozer. Ils savent le nom du trouble fête..

Afin d’aider la famille la médium et son conjoint nettoya les auras de Peggy et de Janet en déplaçant leurs mains autour des corps des femmes.

L’activité paranormale commença à diminuer, mais Janet était souvent la cible d’attaques qui commençaient à déranger ses études. Je vous donne un exemple… Une nuit elle se réveilla sentant des mains l’étouffer. Elle voyait un vieil homme assis sur le bord du lit mettant une main sur la bouche et l’autre sur son nez. L’enfer recommençait… comme au début de l’affaire.

Pour ceux qui pensent que Grosse et Playfair étaient là juste à écouter et regarder les preuves, eh bien vous vous trompez ! Ils ont essayé pendant des semaines des tentatives de contacts avec l’entité qui hantait la maison. Un soir le dialogue commença. Je dis dialogue, mais disons que c’était lourd, compliqué. En premier les réponses étaient courtes, un mot par exemple… Puis l’entité commença à discuter comme nous faisons à tous les jours. Le son sortait de la bouche de Janet alors que la bouche était fermée. Oubliez la possibilité qu’elle était ventriloque.

Les réponses devenues de plus en plus claires permirent aux enquêteurs de savoir qu’il y avait 10 entités qui partageaient la maison. La plupart étaient capricieux, violents, sauf Billy qui était considéré par les enquêteurs comme celui qui était le plus coopératif.

Ce Billy avait vécu dans cette maison antérieurement. Il devint aveugle avant de mourir d’une mort paisible, endormi au salon assis dans un fauteuil installé dans l’angle de la pièce.

Puis il se réveilla au cimetière. Il se sauva et retourna dans la maison. Il commença à tourmenter la famille, surtout la personne qui se couchait dans son lit : Janet.

En fouillant les archives ils eurent la confirmation qu’un Bill Wilkins était décédé assis dans un fauteuil d’une hémorragie cérébrale.

Ce Bill pouvait être bavard comme très silencieux selon les sujets. Le plus particulier était que lorsque le sujet de la religion arrivait, il devenait agacé et les cassettes d’enregistrement qui servaient à enregistrer les conversations se détraquaient.

Ils avouèrent qu’ils ne savaient pas vraiment avec qui ils parlaient… Qui ou Quoi…

Mais le plus particulier fut la Voix telle fut nommée. Elle a été entendu lorsque Janet était à l’extérieur de la maison, dans l’autobus alors que cette voix insultait les passagers ou chez le médecin.

Cadeau et malstrom d’attaques

Après des mois d’activités, de crises, de possession et d’événements aussi violents qu’un déplacement d’un frigo ou qu’un système de chauffage dans la chambre des filles fut arraché du mur arriva la période des Fêtes. Le 23 et 24 décembre la maison dû affronter la mort de deux poissons rouges causés par un des esprits qui avoua de les avoir électrocutés par accident. Puis la perruche fut trouvée morte, mais aucune voix avoua être responsable de la mort du volatile.

Puis arriva l’accident de l’attaque du rideau que j’ai expliqué plus haut dans le texte.

Playfair avait décidé de mettre un cadeau de Noël sous le sapin (boite de chocolat) pour les esprits et il y avait une note “À Bill, Joe et les autres. Dans l’espoir de votre départ.”

Est-ce un réponse à ce “cadeau” qui amena un rideau à s’enrouler autour du cou de Jane ?

En 2012 Janet fit un interview et elle précisa :

Lorsque le rideau était autour de mon cou, je sentais des mains froides et je peux vous dire qu’une force invisible me tira hors du lit.

Il est important de préciser que la fenêtre dans la chambre était fermée.  Playfair explique un détail :

Nous pouvions voir le rideau se tordre dans une spirale très précise et il n’y a personne près d’elle et personne touche au rideau. C’est inexplicable.

Malheureusement ce genre d’incident avec un rideau se produisit huit fois, sans oublier les attaques envers Peggy.

Lors du Réveillon du Jour de l’An une commode se déplaça d’avant et en arrière et un tableau tomba contre la tête de Playfair qui demanda quel entité avait fait tout cela et un Fred avoua qu’il n’avait rien fait, mais que le coupable était Tommy. Tommy était soi-disant un esprit d’un jeune enfant de cinq ans…

Le sapin de Noël décida de faire de la lévitation dans le salon en arrachant les décorations et autres objets accrochés aux murs. La Voix donna une explication à tout cela : Tommy n’aimait pas le matériel vidéo installé dans la chambre.

En faisant des recherches sur Enfield j’ai lu que les entités aimaient bien faire quelques farce…. Manière de détendre l’atmosphère ? Nul ne le saura.

La Voix fut analysée par une phoniatre, une spécialiste qui analyse et peut comparer deux voix humaines. Suite aux analyses les résultats étaient catégoriques : la Voix ne venait pas des cordes vocales de Janet.

Les chasseurs chassés ?

Eh oui il semblerait que le poltergeist avait une envie d’attaquer les enquêteurs. Par exemple Maurice Grosse a commencé à avoir des problèmes avec sa voiture accompagné de bruits étranges. Il ne faut pas oublier les bruits dans sa maison et la disparition et l’apparition d’objets…

Le passé garant de l’avenir ?

Il semblerait que les enquêteurs eurent affaire avec un autre médium dont le nom est Gerry Sherryk. Ce médium aurait dit que Janet et Peggy avaient été des soeurs dans une vie antérieure et qu’elles avaient été sorcières.

Pour lui elles étaient médiums et captaient des entités et il y avait une défunte, une vielle femme âgée qui semblait haineuse. Elle disait qu’elle était décédée dans la maison et qu’elle ne voulait pas quitter cette maison qui l’appartenait.

Le médium avant de partir décida de faire un traitement magnétique sur tous les occupants de la maison, incluant les enquêteurs.

Playfair avoua ressentir une chaleur intense dans son corps.

Suite à cette visite le calme se plaça dans la maison… Le vrai repos ou juste une trêve ?

Le retour des journalistes et vacances

Après la trêve les attaques continuèrent jusqu’à ce que de l’urine de chats inonda la salle de bain. La famille n’avait pas de chat…

Puis Georges Fallow journaliste de Daily Mirror qui avait rendu visite durant la période de Noël décida qu’il fallait des articles complets sur l’histoire de la famille Hodgson. Il désigna Bryan Rimmer qui produisit un excellent travail journalistique.

Pendant ces articles Grosse décida de prendre deux semaines de congés bien mérités, ainsi que Playfair qui décida de quitter la maison. Ceci donna des idées au poltergeist de monter d’un cran les attaques. Des excréments furent trouver en tas dans la maison et des objets furent encore envoyés partout dans la maison. Il y eu une construction d’un amoncellement de cubes de glace sur le plancher de la cuisine et une “pyramide” de verres, tasses et autres objets apparut sur la table de la cuisine.

C’est alors que la Voix s’exclama : “Oui c’est moi”

La valse des spécialiste et apparitions

En mars 1978 Grosse et Playfair décidèrent de participer à la SPR (Society for Psychical Research) à Cambridge. Ils donnèrent les informations recueillis jusqu’à maintenant et ils eurent un accueil très froid. Par contre ils furent aidé par le journaliste Bryan Rimmer et par le journal Daily Mirror.

Le reportage attira l’attention du Professeur Hans Bender qui étudiait le phénomène poltergeist depuis quarante ans. Il conseilla un exorcisme, mais la famille et les deux enquêteurs Grosse et Playfair refusèrent l’offre.

Le docteur Sacks conseilla le départ des deux enquêteurs qui avaient réalisé ce test dans le passé… Suis-je obligé de vous donner le résultat de ce test ?

Peggy demanda le retour des enquêteurs car les phénomènes continuaient à se répéter et durant le mois d’avril en l’absence des enquêteurs ils connurent environ 150 incidents et les apparitions visuelles commençaient à devenir de plus en plus fréquentes.

L’apparition qui a dérangée le plus Peggy fut celle d’un jeune enfant d’environ l’âge de son fils Billy. Elle a pu se rendre compte que c’était une apparition car l’enfant n’était pas habillé comme Billy, comme s’il portait une chemise de nuit et qu’il glissait ou flottait.

Maintenant les voisins…

Le poltergeist commença à affecter les voisins et fit quelques “spectacles” que plusieurs passants purent admirer. Le 30 mai 1978 les jeunes de la famille commencèrent à s’obstiner avec les enfants des voisins. Il y eu une pluie de pierre qui s’abattit sur les enfants et un voisin qui se plaignit d’avoir reçu des pierres fut complètement attaqué par des jets de pierre ainsi que par des briques et bouteilles de lait dont il était impossible de dire d’où provenait ces jets. Plusieurs de ces objets et cailloux s’écrasèrent sur les terrains de cinq voisins. La panique commença à s’étendre… Normal hein! Quand ce qui attaque cette famille commence à viser les voisins les gens commencent à paniquer… Désoler c’était ma montée de lait 😉

Janet

Janet dans tout cela commençait à être à bout de ces attaques et voulait la paix. Elle était rendu tellement habitué de se faire éjectée de son lit qu’elle en riait au lieu d’en pleurer. Elle s’inquiétait pour sa famille ainsi que pour elle.

Elle et sa famille décidèrent de prendre des vacances… Le frère de Peggy pris la décision de venir quelques vérifier l’état des lieux. Il fut témoin d’une apparition d’un jeune enfant assis de dos à la table de la cuisine. Il demanda qui il était. Il n’obtint aucune réponse et il comprit que c’était une apparition. L’enfant venait de disparaître. Il était clair à la limite transparent. Arrivé chez lui il a dit à sa femme : “cette maison est véritablement hantée”. Plus jamais il y retourna.

Janet allaient souvent passer des tests psychiques et physiques pour valider son état mental et physique. Même à l’hôpital les phénomènes continuaient.

L’ultime solution

Avant l’ultime solution il eu une visite d’un jeune médium, Dono Gmeling Meyling vers la fin de l’année 1978. Il avait résolut deux cas de poltergeist.

Alors pourquoi pas lui ? Qui sait ? Grosse et Fairplay avaient décidé de tout arrêter si le médium ne pouvait pas calmer ou arrêter complètement les manifestations.

Alors Dono visita la maison et les phénomènes commencèrent à devenir de plus en plus rares, calmes. En fait ils avaient presque tous disparus.

C’est alors que l’ultime solution fut appliquée. Un prêtre vint bénir la maison. Les phénomènes cessèrent définitivement.

Alors pourquoi ne pas essayer cette solution ?

À moins que les actions des médiums purent calmer la puissance du poltergeist et calmer les esprits des défunts tourmentés ? Il est impossible de le savoir… Juste des suppositions.

ajiuO

Tout phénomène paranormal observé a une source, un point de départ… Pour certains cas, le point de départ est un objet ou la rénovation de la maison qui semble brasser, déranger les énergies et défunts.

Il arrive que ce soit un jeune adolescent qui amena le carburant pour partir ces phénomènes lors de la puberté.

Sinon c’est qu’une personne décide de tenter de rentrer en contact avec les esprits (défunts = humains décédés, entités = esprits non humains) par un outil comme le pendule (comme je l’ai essayé dans le passé)… Comme par les PVE (phénomènes de voix électroniques) ou bien par le Ouija…

Janet avoua quelques années après la fin du poltergeist qu’elle avait jouée avec sa soeur Margaret au Ouija…

Voilà l’objet ayant permis d’ouvrir la porte vers le monde des esprits ?

Il peut y avoir de fortes chances que cela ait aidé le commencement des phénomènes.

Alors un conseil… Ne faites pas de tentative de contacts avec des défunts ou entités si vous n’êtes pas médium sachant gérer l’astral et les énergies (bas et haut astral).

Pour finir sur le dossier Playfair a écrit un livre This house is haunted (Cette maison est hantée). Il avoue dans son livre que les jeunes avaient fait quelques farces, mais que c’était une authentique affaire de poltergeist.

Et ensuite ?

Janet a quitté la maison à 16 et elle s’est mariée jeune. Elle vit avec un laitier retraité. Son frère Johnny est décédé à 14 ans d’un cancer, sa mère Peggy fut victime d’un cancer du sein en 2003 et le fils de Janet mourut à 18 ans dans son sommeil. Pour elle ces décès dans sa famille n’ont pas de lien avec le poltergeist.

Peggy avoua qu’elle ressentait encore une présence calme dans la maison après le départ des enfants. Son frère a décidé de quitter la maison suite la mort de Peggy et avoua aussi qu’il ressentait une présence.

Clare Bennet et ses fils ont aménagé dans la maison et ils avouèrent entendre souvent des gens parler tout bas, chuchoter. Clare découvrit l’histoire de la maison… Puis un jour un de ses fils, Shaka âgé de 15 ans raconte :

La nuit où nous avons déménagé je me suis réveillé et j’ai vu un homme entrer dans la pièce. J’ai couru dans la chambre de maman et je lui ai dit : On part immédiatement. Le lendemain la famille quittait les lieux après à peine deux mois dans la maison.

Présentement la maison est occupée par une famille qui souhaiter garder l’anonymat. La mère de famille précise :

J’ai des enfants et ils ne savent rien. Je ne veux pas les traumatiser.

Est-ce que le poltergeist attend encore d’autres jeunes qui feront du Ouija pour se réactiver ? Seul Dieu le sait. Avec le paranormal il peut arriver plein de choses incontrôlables et qui peuvent affecter notre vie.

Gardez toujours un oeil ouvert et les oreilles aux aguets !