Ne vous y méprenez pas, ce n’est pas la fameuse clinique d’Arcachon, mais le Palais des congrès qui fut son successeur.Arcachon est l’une des plus belles station balnéaire en pleins cÂœur des Landes de Gascogne et du Pays de Buch.

Comme dans certaines villes, Arcachon a des quartiers qu’on appelle “Ville” comme la Ville d’Hiver, la Ville de Printemps, où la Ville d’Été, ainsi que la Ville d’Automne (ou celui de l’Aiguillon). Comme vous l’avez constater, ces quartiers portent le nom des 4 saisons. Mais il y a également Les Abatilles et Le Moulleau.

A chaque Quartier correspond une vie particulière : sur “Le Quartier de la Ville d’hivers” sont construits des chalets destinés “aux malades de la poitrine” et en 1992, grâce à la transformation en arboretum, le quartier devient un véritable lieu de détente.
Grâce à la construction, en 1863, du Belvédère de la dune Sainte-Cécile (Sainte patronne des musiciens), vous aurez une vue panoramique très impressionnante du Bassin d’Arcachon. Cette observatoire de 15 mètres, fût l’une des Âœuvre les plus particulières de l’architecte Paul Régnault qui était assisté du célèbre auteur de l’une des plus belles tour métallique de Paris, Monsieur Gustave Eiffel.

Mais ce charmant quartier contient d’autres beautés à visiter :

Continuons notre visite dans l’un des autres quartiers de la ville.

Le Quartier de la Ville d’Été :

Nous entrons dans le quartier le plus commercial de la ville avec ses restaurants, ses cafés, son centre administratif : l’hôtel de ville et surtout son casino de la plage, qui fût construit en 1853 sur le modèle de celui de Boursault à Epernay et qui s’appelait le château Deganne.Ce quartier longeant le bord de mer en fait le lieu le plus visité de la ville.

Le quartier du Printemps est plus propice à la spiritualité grâce au culte de Notre-Dame d’Arcachon et sa croix des marins.

Celle-ci se dressait à l’entrée de l’allée de la chapelle en 1722 mais à la suite de la violente tempête, qui frappa le littoral en 1855, elle fût construite sur son site actuel.
La tradition veut que les marins qui partent du port vers les dangers des déferlantes, se protègent du danger en la saluant de deux coups de cornes.

La vidéo qui suit, vous montrent pourquoi les marins du Bassin d’Arcachon vénèrent tant cette croix, les violentes entrées maritimes de la mer déchaîner sont très dangereuses:

Enfin pour finir le dernier Quartier, celui de l’automne ou celui de l’Aiguillon :

Ce Quartier est le cœur de la ville portuaire et vous y visiterez l’Église Saint-Ferdinand.

Cette bâtisse, érigée en 1855 était trop petite pour accueillir tous les fidèles et c’est en 1900 qu’elle fût remplacée par l’actuelle église romane mais sans son clocher car cela couter trop chère pour l’époque .

Achevée en 1855, elle devint rapidement trop petite pour accueillir les nombreux fidèles.
Ce n’est qu’en 1927, qu’elle fut surmontée de la statue du Sacré-cÂœur, Âœuvre d’Edmond Chrétien.

Mais derrière ce cadre idyllique, se cache l’histoire des plus troublantes de phénomènes paranormaux en France : le cas de poltergeist dans la clinique du Docteur CUENOT :

“En 1963, de la mi-mai au mois de septembre, des phénomènes de poltergeist particulièrement saisissants ont eu lieu dans une clinique d’Arcachon.

Durant plusieurs mois, les malades hospitalisés ont subi des projections de cailloux ou de fragments de briques, dont le calibre et la trajectoire étaient variables. Il a été estimé que ce sont, au moins, plus de 1000 cailloux qui ont été ainsi « reçus » par les patients du lieu.

Ces phénomènes pouvaient se produire à tout moment de la journée. Heureusement, personne n’a été blessée pas ces projections, même si parfois les projectiles pouvaient atteindre plusieurs centaines de grammes !

Face à l’importance grandissante du phénomène, Le docteur Cuénot, directeur de la clinique fut contraint de contacter les forces de l’ordre.

Dépêché sur les lieux, un agent de police inspecta l’intérieur de l’établissement. Durant ses investigations, il fut le témoin d’une de ces pluies de pierres, d’une telle intensité que le policier hurla au responsable de ces actions de stopper ses agissements. Contre toute attente, les jets de pierres cessèrent instantanément.

L’intervention de Robert Tocquet

Face au caractère étrange de ces phénomènes, le directeur de la clinique fit appel au professeur de sciences physiques et expert en parapsychologie, Robert Tocquet. Celui-ci constata que les phénomènes apparurent peu de temps après l’annonce de la vente de la clinique au personnel soignant et aux patients.

Jacqueline. R, âgée de 17 ans devint alors la cible privilégiée des jets de pierre : « Il suffisait que l’adolescente se trouve quelques minutes sur les terrasses extérieures, pour que les cailloux pleuvent autour d’elle », explique Robert Tocquet. « Mais si elle s’absentait de la clinique, les jets cessaient. Quand elle revenait, les phénomènes se produisaient à nouveau, cinq à dix minutes après son retour ».

Le phénomène augmenta en intensité durant l’été.

Un soir d’août, un patient leva la tête au moment où une grosse pierre, fut lancé d’une fenêtre située au second étage.

Quelques jours plus tard, tous les résidents, sans exception, ainsi que l’ensemble du personnel soignant passèrent l’après-midi sur la terrasse. Et, il n’y eut jamais autant de pierres lancées, semblant exclure définitivement les personnes présentes de tout soupçon, quant à leur implication probable dans ces événements.

Les portes se referment sur le poltergeist d’Arcachon

Le 1er septembre 1963, à l’issu d’un entretien avec Jacqueline. R, Le docteur Cuénot comprit que sa patiente était en proie à un mal être indicible et qu’elle était peut-être inconsciemment à l’origine des phénomènes constatés.

Dans les nuits qui suivirent, on entendit des coups frappés contre les portes des chambres dont celle de R.Tocquet : « Au troisième coup contre ma porte, qui était espacé de quelques secondes, je l’ouvris soudainement, pour me retrouver seul dans le couloir, parfaitement éclairé. Le quatrième coup retentit alors, semblant frappé par un poing invisible. En allant voir immédiatement Jacqueline. R, je me rendais compte qu’elle ne m’ouvrit qu’après quelques minutes, semblant émerger d’un sommeil profond ».

A l’issue de cette dernière manifestation, les phénomènes cessèrent définitivement, dans cette clinique d’Arcachon qui a vécu, pendant de longues semaines, des moments de perplexité bien légitimes.”

Source : http://www.besoindesavoir.com/article/4 … t-arcachon