Les anciennes civilisations, un puzzle à reconstituer…

C’est une longue démarche qui m’a amené à mettre sur le papier une conviction née d’une intuition et de nombreuses lectures, visionnages, réflexions et discussions. Alors beaucoup ne trouveront ici qu’un tissu d’âneries, alors que d’autres trouveront certains points dignes d’intérêts, et les derniers, peut être une révélation ou tout au moins un ébranlement de leurs certitudes. Et puis, chez les derniers, cela ne fera que renforcer une conviction qu’ils ont déjà acquis depuis longtemps.

Entrons donc dans le vif du sujet et revenons sur une chronologie reconnue de l’histoire de la terre.

Il convient d’abord de figer un constat, la vie a depuis des milliards d’années foisonée sur notre planète ; et il y a eu régulièrement un effacement quasi complet de la création. Ce n’est donc pas un monde, mais plusieurs mondes qui ont coexisté au fil du temps.


1×4 les extinctions massives par grandeetoile


2×4 les extinctions massives par grandeetoile


3×4 les extinctions massives par grandeetoile


4×4 les extinctions massives par grandeetoile

Pour rappel, voici les grandes étapes de ces extinctions :

 

– 500 Ma, l’extinction du Cambrien a éliminé beaucoup de brachiopodes, conodontes, et un grand nombre d’espèces de trilobites.

– 435 à – 440 Ma, a la fin de l’ Ordovicien et le début du Silurien, deux extinctions massives se produisent. Les théories les plus répandus évoquent une grande glaciation qui aurait entraîné des désordres climatiques et écologiques si énormes qu’ils auraient rendu difficile l’adaptation des espèces et écosystèmes au recul de la mer sur des centaines de kilomètres à cause de l’épaississement des calottes glaciaires, puis au retour de la mer en fin de phase glaciaire.

– 365 Ma, l’extinction du Dévonien élimine 70 % des espèces. Il ne s’agit pas, là encore d’une brutale disparition, mais d’une série d’extinctions sur une période d’environ 3 Ma.

– 245 à – 252 Ma, l’extinction du Permien est la plus massive. Près de 95 % de la vie marine disparaît ainsi que 70 % des espèces terrestres (plantes, animaux).

– 200 Ma, l’extinction du Trias-Jurassique marque la disparition de 75% des espèces marines, et de 35% des familles d’animaux et la fracturation de la Pangée, qui donna, entre autre la naissance des continents, mais aussi une période de volcanisme sans précédent.

– 65 Ma, les extinctions du Crétacé tuent 50 % des espèces, dinosaures compris.


Disparition des dinosaures par Galaxie-Univers

 

Depuis 13000 ans, l’extinction de l’Holocène (disparition des grands animaux comme le mammouth) a provoquée la colonisation de la planète par l’homme ; elle est souvent qualifiée de sixième Extinction…

Une chronologie riche d’enseignements, car en fait, la plus remarquable et la plus connue du public est l’extinction de dinosaures, et pourtant bien d’autres règnes animaux, dont on a même pas conscience, ont existé bien avant. Mais les dinosaures présentent la seule trace encore viable de ce passé lointain, et les techniques d’investigation modernes permettent maintenant de dater et quantifier les choses. L’évolution du traitement scientifique permet également de préserver les découvertes et de les exploiter correctement. Mais, il faut bien se représenter que nos ancêtres n’avaient pas ces préoccupations et qu’au fil des siècles, beaucoup d’éléments se sont trouvés détruits par ignorance, et aussi par manque d’intérêt. Même au 19ème et pendant plus de la moitié du 20ème siècle, les méthodes exploratoires étaient archaïques et de nombreux sites furent plus détruits qu’explorés. Sans compter les obscurantismes religieux qui ont détruit des témoignages du passé, comme le savoir druidique et les monuments “païens” de nos ancêtres. De récentes destructions par les talibans de tels monuments montrent combien nous ne sommes pas sortis de cet obscurantisme fanatique qui détruit un peu plus de notre héritage à chaque fois qu’il le peut.

Mais revenons a ces extinctions. Beaucoup de théories ont courus et courent encore. Wikipédia en recense quelques unes, parmi les plus usitées :

Il a été suggéré que ces extinctions suivent un cycle de 26 à 30 Ma. Il est difficile de dater des fossiles avec suffisamment de précision pour obtenir des résultats fiables

Une théorie récente, largement discréditée, suggère l’existence d’un compagnon au soleil nommé Némésis qui modifie périodiquement l’orbite de comètes dans le nuage d’Oort, augmentant ainsi le nombre d’impacts sur Terre.

Une théorie, encore plus récente, qui est en cours d’évaluation, invoque des périodes de volcanisme intense le long des failles continentales qui incluent des éruptions assez puissantes pour envoyer plusieurs milliards de tonnes de roches en orbite basse. Cette théorie explique la périodicité des extinctions massives ainsi que la coïncidence apparente de tels événements avec un volcanisme intense et des traces d’impacts de météorites.

 

Une autre théorie implique une variation de la chimiocline suite à un réchauffement global de la planète, lui-même induit par le dégagement important de dioxyde de carbone lors d’une phase de volcanisme intense. La chimiocline atteignant la surface de l’océan, de grandes quantités de sulfure d’hydrogène sont libérées dans l’atmosphère. Les nuages de ce gaz toxique peuvent tuer plantes et animaux soit directement, soit indirectement en détruisant la couche d’ozone. Ce serait ce processus qui serait à l’origine des extinctions de la fin du Permien et de la fin du Trias. Les biomarqueurs trouvés dans les sédiments de ces époques attestent que des bactéries consommatrices de sulfure d’hydrogène ont alors proliféré dans tous les océans.”

Et puis, la dernière, datant de 2008, raccord avec les théories de 2012 :

Une nouvelle théorie suggérée en 2008 par une équipe de scientifiques de l’université de Cardiff évoque le rôle de la Voie lactée qui pourrait être responsable des six extinctions de masse de l’histoire de la Terre. Selon cette théorie, de façon périodique, tous les 35 à 40 millions d’années, le système solaire traverse le plan galactique, caractérisé par une forte densité en gaz et en poussière. Or, à mesure qu’il le traverse, les forces gravitationnelles des nuages de gaz et de poussière environnants délogent les comètes de leur trajectoire. Celles-ci plongent alors dans le système solaire, certaines d’entre elles pouvant entrer en collision avec la Terre. Le risque de collision augmenterait ainsi d’un facteur dix. Cette hypothèse concorde d’après ses auteurs avec l’observation des cratères sur Terre qui suggère un plus grand nombre de collisions tous les 36 millions d’années environ

Voilà pour le point sur les extinctions, et, vous pouvez le constater, les extinctions ont toutes données naissance à une nouvelle variété de créatures dominantes, car il y a toujours eu un pourcentage de “rescapés” à ces différentes extinctions. Gardez bien ce point en mémoire, car il est un élément important dans ce qui va suivre.

La grande dernière extinction fut celle des dinosaures.

La disparition des dinosaures a donné naissance à de nombreuses théories. De la théorie de manipulation génétique par des extraterrestres, à d’autres plus probables et scientifiques. Il convient tout de même de noter que l’extinction des dinosaures est un terme abusif. Tous les dinosaures n’ont pas disparus puisqu’il en subsiste une grande variété qui a évolué : les oiseaux.

Les dinosaures étaient un groupe d’animaux extrêmement varié. Une étude de 2006 dénombre 527 genres de dinosaures ayant été décrits avec certitude. Il reste plus 1 844 genres encore à classer.

Certains d’entre eux étaient herbivores, d’autres carnivores. Certains dinosaures étaient bipèdes, d’autres quadrupèdes et certains, tels Ammosaurus et Iguanodon, pouvaient marcher aussi bien sur deux ou quatre pattes.

Si certains dinosaures furent de taille remarquable, d’autres étaient de taille fort modeste. La disparition des grands dinosaures peut trouver une explication plausible dans la raréfaction de sa nourriture et dans son métabolisme lourd, difficile à adapter. Le nombre de mammifères, et la continuité des oiseaux, tendent à prouver que les races, de taille “raisonnable” avaient le potentiel de survivre à la catastrophe, quelle qu’en fut la cause.

Et c’est là que quelque chose nous interpelle… L’humanité est présente sur Terre depuis environ 7 millions d’années, 11 millions en comptant les plus anciens primates affilés ou supposés comme tel. Les dinosaures, eux, sont restés 140 millions d’années… et puis, entre – 65 millions d’années et – 7 millions d’années, que s’est il passé ?

Il convient ici de citer une étude particulièrement intéressante : Une théorie scientifique émise en 1982 par le paléontologiste Dale Russell évoque les Reptiles humanoïdes, appelés aussi les dinosauroïdes. Selon sa théorie, l’espèce dominante sur la planète Terre aurait été une évolution des dinosaures, et non les humains, (des mammifères), si les dinosaures n’avaient pas disparu.

 

Cette théorie n’est pas l’oeuvre d’un farfelu. Dale A. Russell (2 avril 1947) est un géologue et paléontologue, professeur de recherche au MEAS (Department of Marine Earth and Atmospheric Sciences – Département des sciences de la mer, de la terre et de l’atmosphère) à la North Carolina State University (Université de la Caroline du Nord). Il a décrit entre autres le dasplétosaure et fut un des premiers à émettre l’hypothèse d’une cause extraterrestre (comète ou astéroïde) à la disparition des dinosaures. Avouez, que vu le succès de ce dernier point, il est surprenant que le premier n’ait pas rencontré un plus grand succès.

Les reptiles humanoïdes sont présents dans les différents mythes et légendes. Ce sont souvent des créatures mi-humain et mi-serpent. On rencontre aussi des formes de dragons humanoïdes dans les cultures asiatiques.

Bien que créature fantastique, le dragon est considéré comme un reptile. Les serpents, dragons ou autres noms pour désigner un même genre, ont toujours concerné des êtres de pouvoir (des dieux) ou des initiateurs, apportant quelque chose à l’homme présupposé inférieur ou soumis.

David icke en 2008

L’auteur David Icke a prétendu que des reptiliens changeurs de forme, issus d’une lignée hybride humains-reptiles tirant leur origine de l’ancienne Babylone, gouvernent notre planète en secret. L’auteur a popularisé le thème du reptile humanoïde.

Cette théorie trouve encore echo dans la littérature actuelle. Dans les romans québécois A.N.G.E, l’écrivain Anne Robillard décrit les Reptiliens. Ils sont divisés en plusieurs races qui dirigent la terre en gardant les humains dans l’ignorance. Vivant par le passé sous terre, ils sont forcés de remonter à la surface à cause de la pollution de la terre par les humains. Il y a un bon nombre de races dites pures, d’autres issues de croisements.

Le constat de base de toutes ces théories est le même. Si un race bipède de dinosaure de petite taille a survécu il y a 65 millions d’années, en attendant que nos ancêtres primates se mettent debout il y a 7 millions d’années, comment aurait elle évolué ? D’aucun dirons que un reptile reste un reptile. Mais à ce moment là, un singe reste un singe aussi ! Si nous avons pu passer du primate fruste à l’homme moderne en 7 millions d’années, une autre race a pu le faire avant nous. Et même en comptant le même laps de temps, cela voudrait dire qu’il y a 58 millions d’années, une civilisation reptilienne aurait pu atteindre notre niveau de développement actuel. Et aurait pu vivre encore tranquille 51 millions d’années avant de voir nos ancêtres simiesques se dresser.

 


Les Reptiliens, du mythe à la réalité 1/4 par tapa10bal


Les Reptiliens, du mythe à la réalité 2/4 par tapa10bal


Les Reptiliens, du mythe à la réalité 3/4 par tapa10bal

 

Voilà le constat qui m’a amené à me questionner profondément sur ce trou dans la trame de l’histoire. Et plus j’explore cette voie, et plus je trouve de pièces qui s’imbriquent et s’emboîtent dans le tableau général des mystères du passé.

et je ne suis pas le seul. Avec steevee et quelques autres (Nanni – fondatrice d’AREPI et quelques autres…).

 

 

On peut commencer en cherchant dans les légendes des Dieux du Passé des grandes civilisations disparues :

 

Quetzacoalt et son jumeau Xolotl

 

Apophis

 

 Ouroboros

 

Nidhögg

 

Samaël – Satan

 

uræus sacré

un cobra géant protège Bouddha en méditation

Kundalini

Asclépios ou Esculape

NINGISHZIDA

ananta

le serpent arc en ciel des arborigènes

et je passe les dragons et autres…

Tous des Serpents ou humanoïdes reptiliens, quelle que soit la civilisation, quel que soit le lieu dans le monde, même l’amérique du sud, séparée depuis la pangée, partage la légende d’un Dieu reptilien avec le reste de l’humanité. Peut on décemment balayer tout cela d’un simple revers de manche, sans se questionner ?

Commençons par le plus tendance et le plus connu des reptiliens : Quetzacoalt

Quetzalcoatl se retrouve fréquemment dans la religion et l’art mésoaméricains pendant près de 2 000 ans jusqu’à la conquête espagnole. Parmi les civilisations qui pratiquaient son culte, on trouve les Olmèques, Teotihuacan, les Mixtèques, les Aztèques, les Mayas et surtout les Toltèques.

Selon les Anales de Cuauhtitlan, Quetzalcoatl, souverain de Tula, la capitale des Toltèques, fut séduit par Tezcatlipoca, qui, jaloux de son rival, l’enivra et l’amena à rompre son vœu de chasteté. Chassé de Tula, Quetzalcoatl parvint au bord de la mer, où il s’immola par remords. Son cœur, qui s’était échappé des cendres, devint alors l’étoile du matin sous le nom de Tlahuizcalpantecuhtli. Il n’y a jamais eu à proprement parler d’unité religieuse en Mésoamérique.

En effet, chaque culture a développé sa propre tradition mythologique, ses propres rites et sa propre organisation religieuse.

Selon la légende Quetzalcóatl a apporté le maïs aux ancêtres des Aztèques. Au temps du premier couple, Oxomoco et Cipactonal, des fourmis ont caché les graines de maïs à l’intérieur d’une montagne.

Quetzalcóatl s’est donc transformé en fourmi pour rapporter le précieux butin aux autres dieux.

Ces derniers, après l’avoir goûté, ont décidé que c’était une nourriture idéale pour les hommes.

On le voit clairement ici, Quetzacoalt aurait régné pendant 50 ans, environ 2000 ans avant l’arrivée des espagnols en Amérique du sud. Autrement dit environ 500 ans avant JC, ce qui laisse songeur sur la période. Car on peut faire un parallèle intéressant sur l’architecture de l’époque : Les pyramides… Ce qui amène naturellement à partir plus près de nous géographiquement avec d’autres monuments pyramidaux plus connus, à Gizeh, en Egypte.

 

 

Ce qui amène à un constat simple, il existe aussi dans le temple des anciens Dieux Egyptiens un reptilien, mis à l’honneur dans une série incontournable évoquant largement le serpent, mais sous forme de Symbiote, la bien nommée série Stargate. Ce Dieu, c’est bien sûr Apophis.

Il est le dieu des forces mauvaises et de la nuit, la personnification du chaos et du mal cherchant à anéantir la création divine. Son nom Aapep ou Aapef (en égyptien ancien) signifiait « géant » ou « serpent géant ». On peut ici s’amuser à chercher les points communs avec les Nephilim et autres anges déchus de la religion chrétienne, non ? encore de bien troublants points communs.

A la même époque, environ 1600 avant JC, un autre Dieu Serpent fait son apparition dans cette partie du monde, Le serpent ou dragon qui mange sa propre queue a survécu de l’antiquité et peut être retracé jusqu’en Ancienne Egypte. Il porte le nom d’Ouroboros. Ce symbole a plusieurs sens qui s’entremêlent. C’est le symbolisme du serpent mordant, dévorant, mangeant sa propre queue et qui représente la nature cyclique de l’univers ; création à  partir de destruction, vie au delà de la mort. L’Ouroboros mange sa propre queue pour se maintenir en vie, dans un cycle éternel de renouveau.

Ce symbole est aussi un des plus connus de l’alchimie et a donné la forme du signe infini en mathématiques…

Et que dire des autres ? si on parcours les différents cas, on retrouve toujours la symbolisme du serpent dans tous les religions existantes ou ayant existé. Cela ne peut pas être un hasard, mais bel et bien le souvenir d’un passé commun.

 

Et si vous parcourez les sites internet, vous découvrirez une foule de Dieux nordiques, de créatures légendaires, qu’elles portent le nom de Dragon, de Vouivre ou autre, toutes créatures d’aspect reptilien.

Maintenant que les bases du propos sont posés, on peut revenir sereinement sur un déroulé clair:

65 millions d’années : la race des grands dinosaures disparait, mais une race de taille humaine survie et se développe,

– 58 millions d’années : cette race a atteint un niveau de technologie équivalent au notre, se développent et continue à avancer,

– 7 millions d’années : une race de primates acquière de nouvelles aptitudes, et subitement prend la position debout, sans véritable explication,

– jusqu’a 500 ans avant JC : les reptiliens sont compagnons des Dieux et présents dans toutes le religions terrestre comme créateurs ou destructeurs de vie,

– L’avénement des grandes religions monothéistes ne gardent que le côté destructeur avec l’invention du serpent tentateur et de Satan, le serpent de l’enfer..

– Au moyen age, les légendes de preux chevaliers allant détruire les derniers dragons jusque dans leurs cavernes se multiplient.

 

 

Comme on peut voir, bien ou mal, le serpent est toujours là, latent, dans l’histoire des religions, et dans l’histoire tout cours. Bref, la créature reptilienne est là, toujours au côté de l’homme. Jusque dans nos gênes, puisqu’on parle du serpent double en parlant de l’ADN ! Dire si c’est une figure récurrente de notre imaginaire – ou pas -.

 

58 millions d’années, imaginez où en sera l’humanité d’ici là ? en 7 millions d’années d’existence de notre race, nous commençons à partir vers l’espace, envisager des occupations sur Mars et autres… Imaginez dans 20 millions d’années ! Nous aurons certainement colonisé d’autres planètes. Sauf a avoir une catastrophe qui rende la planète impropre à notre survie… Et si c’était ça ?

Il y a moins de 1% de variation entre l’ADN de tous les humains sur terre. Il y a plus de différences dans l’ADN entre 2 chimpanzés de la même tribu qu’entre un africain et un Inuit. Cela indique qu’à un moment, un événement majeur a frappé l’humanité entre – 50 et – 100 000 ans. Cet apocalypse a été tel que l’on peut estimer qu’à peine 5000 hommes préhistoriques ont survécu.

 


Une Apocalypse Préhistorique par Mysteretv

 

Qu’en est il des autres races présentent sur terre ? qu’est ce qui fut la cause réelle de cette apocalypse ?

Revenons à notre chronologie, quelques millions d’années avant que nos ancêtres ne commencent leur mutation, une civilisation reptilienne est florissante, elle s’est épanouie et occupe maintenant toute la planète. Et, comme toute civilisation commence à regarder au delà des étoiles  pour continuer son expansion.

Alors cette civilisation commence une longue colonisation du système solaire. Commence par la lune, où des photos se montrent plus que troublantes :

 


Ruines et bases Alien trouvées sur la face… par resistance2012

Sur Venus, appelée aussi la jumelle de la terre.  Le site Astropolis le dit clairement : “Sur la surface proprement dite, la croûte vénusienne est très semblable à celle de la Terre en terme de composition chimique (essentiellement de la roche basaltique). Elle est composée de 60% de plaines et 24% de montagnes et de collines d’une centaine de mètres de haut. Par contre la croûte est d’un seul bloc, et non constituée de plaques tectoniques comme sur Terre.”…”Depuis plus de 40 ans, Vénus est souvent visitée par les sondes terriennes qui cherchent à comprendre pourquoi notre sœur jumelle a-t-elle subi un sort si cruel comparé à celui de la Terre … Les sondes Spoutnik, Venera, Cosmos, Mariner, Pioneer Venus, Magellan, Vega ont effectué des rotations, voire se sont posées sur le sol, ne résistant pas plus de quelques heures sur le sol brûlant.”

 

 

Comment ne pas penser à une terraformation ratée ? ou une civilisation ancienne ayant tellement produit de gaz à effet de serre qu’elle en a détruit la vie sur cette planète ? à une heure où le réchauffement climatique est au coeur de toutes les inquiétudes, on ne peut pas nier que c’est une hypothèse crédible.

Idem pour Mars, où déjà de nombreux fantasmes alimentent bien des légendes, et depuis la plus haute antiquité, cette planète à toujours été réputée abritant une civilisation intelligente. D’où pouvait bien venir une pareille certitude ? Ne serait ce pas, là encore, une survivance d’un savoir passé ?

 

Regardez à quoi a ressemblé Mars dans le passé lointain :

http://www.gentside.com/mars/voici-comment-etait-la-planete-mars-il-y-a-4-milliards-d-039-annees_art56322.html

 

Et que dire de ces quelques images qui ne peuvent laisser indifférent :

 

 

Et si Mars était vraiment encore habitée ? En 1965, la sonde Mariner 4 a découvert que la planète Mars n’a pas de champ magnétique global qui permettrait de protéger la planète contre les conséquences potentiellement mortelles du rayonnement cosmique et du rayonnement solaire, les observations faites à la fin des années 1990 par la sonde Mars Global Surveyor ont confirmé cette découverte. Les scientifiques conjecturent que l’absence de protection magnétique a permis au vent solaire de souffler une grande partie de l’atmosphère de Mars au cours de plusieurs milliards d’années.

En 2007, il a été calculé que les dégâts causés par le rayonnement cosmique sur l’ADN et l’ARN ont repoussé la vie sur Mars à une profondeur d’au moins de 7,5 mètres. En conséquence, le meilleur espoir pour une histoire de la vie sur Mars réside dans un environnement qui n’a pas encore été étudié : le sous-sol.

 

Et là on rejoint un autre cas, Mars abriterait un monde souterrain peuplé de Reptiliens ? L’auteur John Rhodes pense lui que les reptiliens sont issus du système de cavernes et galeries souterraines présentes sous la terre où les reptiliens se seraient réfugiés après une grande catastrophe. Et s’il avait partiellement raison ?

Sur la même voie, il existe encore une légende de planète creuse qui fait débat : La lune !

Le blog Homme et Espace cite une étude scientifique allant dans ce sens: “Deux scientifiques russes ( et beaucoup rejoignent cette théorie ) ont développé une thèse incroyable qui à première vue, explique la totalité des singularités lunaires mises en évidence par la conquête de notre satellite.  Selon Mikhaïl Vasine et Alexander Chtcherbakov, tous deux de l’Académie soviétique des sciences, la Lune est creuse ! Les deux savants ajoutaient que :  « la Lune n’est pas un satellite naturel de la Terre, mais un énorme planétoïde creux, construit par quelque civilisation hautement avancée et sophistiquée technologiquement, aménagé artificiellement à l’intérieur et qu’ils ont placé en orbite autour de la Terre il y a des milliards d’années »…

 

Des crops circles lunaires…

Une telle structure interne creuse de la Lune doit expliquer pourquoi la densité de la Lune est trois fois moindre que celle de la Terre. « A première vue, notre théorie peut paraître folle, écrivaient Vasine et Chtcherbakov, mais plus nous examinons avec soin toutes les informations recueillies par l’homme sur la Lune, plus nous sommes convaincus qu’il n’y a aucun fait qui contredise notre thèse. Aucun scientifique étudiant l’origine de l’univers n’a une théorie sérieuse pour expliquer comment le système Terre-Lune est arrivé à se former. »

 

Photo authentique prise par appolo 14

Pour eux, il s’agirait d’une arche de Noë qui aurait navigué jusqu’à la terre pour implanter une colonie. C’est là où nous divergeons de leur théorie. Il est plus vraisemblable que les énormes stocks d’Helium 3 présents sur la lune en on fait un spatio dock essentiel pour toute civilisation, et nous même, nous suivons la même voie de réflexion pour l’avenir.

Bref, une civilisation foisonnante, riche de savoir et de connaissances : qu’a t’il pu se passer ?

Toute civilisation, aussi forte et avancée qu’elle soit finit par disparaître, c’est un fait constaté dans notre histoire humaine, les sumériens, etc.. tous on finit par succomber, mais la race continue. Et là encore, on ne peut raisonnablement pas envisager qu’une race reptilienne évoluée ait disparue du jour au lendemain. Tout au plus a t’elle pu disparaître de nos regards. Et là, on rejoint encore un point d’histoire troublant commun à de nombreux peuples de la haute antiquité.

Les Annunakis autre légende représentant des créatures reptiliennes, seraient venus de l’espace en provenance de Nibiru. Les Annunaki n’étaient autres que les Nephilims pour les babyloniens et plus tard pour les hébreux.

Ils mesuraient vers les 3 m de haut et vinrent sur Terre il y a près de 500 000 ans afin d’exploiter les gisements d’or terrestres.

Un petit point à faire ici, 3 m de haut, nous dit la légende ? Un exosquelette métallique ? que se passerait il si nous partions dans l’espace avec une gravité moindre pendant des générations ? notre squelette s’affaiblirait et notre corps, libéré de cette gravité, pourrait alors grandir jusqu’à nous rendre géant. Mais il faudrait un exosquelette aussi pour se déplacer sur un monde avec une gravité forte.

 

regardez attentivement les articulations sur cette gravure et la jambe découverte…

Wikipédia nous livre un bilan de ce que donne un séjour prolongé dans l’espace : http://fr.wikipedia.org/wiki/Adaptation_humaine_%C3%A0_l%27espace

Si le sujet Nibiru est discutable, il existe un point indiscutable quand à l’usage de l’or : C’est un composant essentiel pour l’électronique et l’informatique en raison de sa bonne conductivité thermique et électrique ainsi que pour sa qualité de métal inoxydable et inaltérable. De quoi envisager cette exploitation minière par un angle inhabituel.

Pourquoi stocker tant d’or ? Peut être est ce plus anciens encore ? Et si l’homme n’était que le fruit d’une manipulation génétique pour créer une main d’oeuvre pratique ?

Le film Promethéus évoque largement cette idée. Si finalement, à l’apogée de leur évolution, les reptiliens avaient décidé de recourir à une main d’oeuvre bon marché et simple pour effecteur leurs basses oeuvres ? nous avons déjà eu recours à l’esclavagisme dans notre histoire, peut être est ce là encore un modèle reproduit par l’homme ?

Et là, on reviendrait où ? tout simplement à Adam et Eve ! les deux premières créatures du jardin d’Eden. Alors, est ce que nos ancêtres étaient le fruit d’une manipulation génétique ou d’une hybridation involontaire ou non ?

De quoi encore faire entrer en collision de nombreuses théories évolutionnistes.

Et puis, à un moment tout s’est déréglé… la planète des singes devenant réalité, la créature se retournant contre le créateur ?

Mis a mal par une destruction de Venus, qu’elle qu’en soit la cause, Une terre de plus en plus étroite pour la continuité de leur race, et quelques bases souterraines cachées sous la surface Martienne et Lunaire, ce n’est pas satisfaisant pour une civilisation si avancée.

que s’est il passé alors ? et bien, comme nous le faisons avec des outils bien plus faibles que ceux que nous aurons dans quelques milliers d’années, on scrute l’univers à la recherche d’autres mondes à découvrir et coloniser !

La corrélation d’Orion est une théorie proposée par certains égyptologues (comme Selim Hassan) ou archéo-astronomes (comme Robert Bauval), selon laquelle il existerait une corrélation entre la position des pyramides d’Égypte et la position des étoiles, notamment entre les trois pyramides de la nécropole de Gizeh (pyramide de Khéops, pyramide de Khéphren, pyramide de Mykérinos) et les trois étoiles centrales de la constellation d’Orion (δ Orionis, ε Orionis et ζ Orionis) – constitutives de l’astérisme appelé Baudrier d’Orion.

En 1994, Robert Bauval réalise que les trois étoiles centrales de la constellation d’Orion sont positionnées comme les trois pyramides de Gizeh, à un tout petit décalage près. Par ailleurs, il montre que le Nil est le reflet de la Voie lactée, comme si les bâtisseurs avaient voulu représenter au sol une sorte de carte du ciel.

Avec l’aide d’un logiciel astronomique (skyglob), il re-situe le ciel tel qu’il était à l’époque de Khéops, et réalise alors que le conduit sud de la chambre du roi, de pente 45°, pointe sur le Baudrier, au moment où Orion est au plus haut sur le méridien, tandis que le conduit nord pointe lui vers l’étoile polaire de l’époque (α Draconis), et le conduit sud de la chambre de la reine (39° environ) pointe sur l’étoile Sirius (α Canis Majoris).

En remontant encore dans le temps, il retrouve la position exacte qu’ont les pyramides avec le Nil, et les étoiles du Baudrier d’Orion avec la Voie Lactée, 10 500 ans av. J.-C. Cette date correspond au moment où Orion était au plus bas dans son cycle précessionnel. Et c’est un point de l’univers qui est pointé dans bien d’autres temples.

 


LA GRANDE PYRAMIDE: Passerelle_vers_les_étoiles par samandari

10500 ans avant JC, avouez que cela fait dater les pyramides de bien loin. Et l’homme en était où à cette époque ? Les sumériens apparurent plus de 4000 ans après, vers 6000 avant JC.

Alors que penser de ces pyramides ? peut être simplement s’agit il d’un message, comme une bouteille à la mer, un phare pour les générations futures, capable de décoder le message et pour indiquer vers où est partie la race des reptiliens ?

Ce qui justifie aussi cet usage de l’or pour toute l’électronique embarquée, la base lunaire pour le combustible, et peut être encore bien des choses qu’on ne peut soupçonner, car certaine branches de la science ne sont peut être pas encore inventées. Ou alors à peine étudiées, comme la physique quantique…

Et nous voici donc avec une civilisation qui part au travers le vide stellaire, mais comme toute civilisation, certains n’ont peut être pas souhaité suivre le mouvement. Soit pour des raisons personnelles, soit pour des raisons scientifiques, désireux de voir ce que donnerait l’évolution du fruit des manipulations ou hybridations.

Certains, fors de leur savoir et de leur connaissances, ont alors peut être choisi de jouer les guides pour les peuplades primitives, faisant fabriquer des palais pour satisfaire leurs egos, certains plus altruistes, se contentant de se nimber d’un aura divin pour ne pas couper le libre arbitre.

 

Et finalement, plusieurs hypothèses peuvent expliquer la suite. Mais je reviendrais ici sur une des plus vieilles religion du monde, le Bouddhisme et nottament Vimana.

Vimana, correspond au “char des dieux” en sanscrit, dans la culture indienne. Cela désigne aussi le trône ou le palais céleste, par extension le palais royal ou le sanctuaire d’un temple. Et que dire du nombre de gravure, présentant d’épiques batailles entre d’étrange objet volants ?

 


Ancient Aliens (le pilote) Chars, Dieux et Au… par Introcrate


Ancient Aliens (le pilote) Chars, Dieux et Au… par Introcrate


Ancient Aliens (le pilote) Chars, Dieux et Au… par Introcrate

Encore une fois des milliers d’Artefact, de dessins, de gravures peuplent les plus vieux temples du monde, les récits sont remplis de créatures descendant du ciel dans des vaisseaux de lumière…

 

Ces batailles décrites dans l’histoire qui concernaient elles ? la révolte des esclaves humains vis à vis de leurs créateurs et maîtres ? un guerre fratricide entre les derniers représentants d’une race antédiluvienne, dont nous gardons cependant moult  traces dans nos culture, avec toujours une bonne dose d’appréhension, rien qu’à leur évocation ? Finalement, n’est ce pas cette guerre, ou ce génocide de vengeance contre le genre humain qui a mené notre race au bord de l’extinction il y a – 50 à – 100 000 ans ?

 


Ancient Aliens S02E09 – Alien Devastations… par i-monde

Ce qui repousse les explications, c’est que depuis la science moderne, on réfute la possibilité de contact extra terrestre pour des raisons physique. Et si finalement le constat de base était vrai ? il n’y a pas de contact possible avec d’autres planètes pour des raisons de distance. Ce que nous pensons être extraterrestre ne sont finalement que des survivants du passé de la terre. La seule façon de rejoindre un autre monde, serait de se lancer pour des milliers d’années sur de gigantesques vaisseaux sans espoir de retour, et d’errer pour des milliers d’années dans le vide spatial. Ce qu’on peut être fait les reptiliens, pour tout ou partie.

Nous ne sommes pour eux, que le fruit d’une expérience passée, voire d’indésirables occupants d’un monde qui fut leur.

Bienveillants ou malveillants, des factions existent peut être toujours, tantôt procédant a des abductions, tantôt rôdant en observateurs. Parfois, ils nous envoient d’énigmatiques messages, sous forme de Cropcircles mais peut être influencent ils aussi nos civilisations par d’autres moyens plus subtiles.

Certains pensent même qu’ils sont les véritables maîtres de la terre, et sont quelques uns, toujours là, dans l’ombre, tirant les ficelles pour quelque projet impossible à cerner. Parfois, ils peuvent se trouver surpris par une vidéo ou un témoin.

 

 

Il y a beaucoup de possibilités, mais une chose est sûre, si vous acceptez d’envisager notre théorie, au regard des preuves et éléments fournis, vous ne pourrez plus regarder l’histoire de l’humanité de la même manière.

Et pour ceux qui pensent qu’il devrait rester des traces, je vous laisse juste découvrir ce reportage pour bien vous représenter la vitesse à laquelle les traces d’une civilisation peuvent disparaître :

 


Les Envahisseurs (Terre, Population Zéro) par Daily2SaleGueule

 

Encore des doutes ? Si vous êtes arrivés jusqu’à ici, c’est que cette théorie éveille des réactions en vous…

je continue à découvrir dans nombre de reportages des preuves et des indices de cette théorie. Gageons qu’un jour prochain, le grand capital qui protège son hégémonie sur terre, par le biais de la bourse ou sous la pression de religions conditionnant les peuples aux seules fins de garder dans les mains de quelques uns : connaissance, pouvoir et richesses, finira par tomber, et qu’enfin, les terriens ne feront plus qu’une race.

A ce moment là, tout ce qui est caché sous les glaces, sous les pyramides, et j’en passe, surgira au regard du monde. Encore faut il pour cela que nous n’ayons pas été amenés à la dernière extinction par la folie des puissants actuels. Et en regardant les actualités, j’ai parfois des doutes là dessus…

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